Oui, mais il paraît que les bougies odorantes et les bâtonnets d’encens sont mauvais pour la santé. Qu’est-ce qu’il nous reste ?
Ce qui a été démontré.
Les parfums d’ambiance diffusent pendant leur utilisation des substances nocives cancérigènes (benzène, formaldéhyde), perturbatrices du système hormonal ou encore allergènes.
Tous polluent ?
Difficile de faire un distinguo, il n’existe aucune réglementation pour les émissions de polluants. En clair, rien n’est écrit sur le produit.
Et si j’en utilise quand même ?
On oublie l’idée que ça assainit l’air, ça ne fait que couvrir les odeurs. On privilégie une utilisation modérée et on ouvre en grand après. A éviter: les diffuseurs 24 h/24 et le Papier d’Arménie, super polluants. Le risque zéro n’existe pas car dès qu’il y a combustion, il y a pollution.
Je me rabats sur quoi ?
L’aérosol est le moins polluant: son utilisation est courte et il n’émet pas de substances cancérigènes. Si on est fan de bougies parfumées, on privilégie celles élaborées avec de la vaseline purifiée et à la cire d’origine végétale (Diptyque, Annick Goutal). On choisit un encens naturel (encens japonais) dontle parfum n’a pas été extrait avec des solvants et qui n’a pas été amalgamé avec de la colle. On en trouve dans les magasins bio ou vendant des produits issus du commerce équitable. Le + naturel: faire brûler une peau d’orange et des clous de girofle.