Iris Mittenaere ne compte pas laisser les accusations de son ex-partenaire Diego El Glaoui impunément. L’ancienne Miss Univers a annoncé ce jeudi 12 juin avoir lancé des procédures pénales et civiles contre les révélations publiques sur sa vie privée, qualifiant ces actes de campagne de diffamation orchestrée.
« Il est temps que cela cesse » : Iris Mittenaere répond fermement
Quelques jours après les déclarations de Diego El Glaoui , relayées par le blogueur Aqababe , accusant Iris Mittenaere d’avoir été infidèle pendant leur relation, l’ex-reine de beauté a décidé de sortir du silence.
Sur son compte Instagram, elle a publié un communiqué clair et déterminé : « Depuis plusieurs jours, je fais l’objet d’une campagne de haine et de diffamation sur les réseaux sociaux. Des propos mensongers, volontairement déformés ou sortis de leur contexte ont été relayés pour tenter de nuire à mon image, à ma parole et à mon engagement. »
Et d’ajouter avec force : « Il est temps que cela cesse. »
Une plainte pénale déposée à Paris
Pour faire face à cette situation, Iris Mittenaere a porté plainte au Procureur de la République de Paris, visant plusieurs chefs :
- Divulgation de correspondances privées
- Diffamation publique
- Cyberharcèlement
- Incitation au cyberharcèlement
Parallèlement, une procédure civile en urgence a été lancée pour atteinte à la vie privée. Ses avocats sont désormais chargés de veiller au retrait des contenus litigieux et de stopper toute diffusion non autorisée.
Des accusations qui font débat
Les révélations du blogueur Aqababe, confirmées peu après par Diego El Glaoui, avaient fait grand bruit. Ce dernier avait affirmé avoir souffert de tromperies durant leur relation, tout en précisant avoir gardé le silence « par pudeur » et « respect ».
« J’ai voulu pardonner, j’ai voulu réparer », avait-il écrit dans un long message Instagram. « Je portais la douleur de la trahison, et l’envie, malgré tout, d’y croire encore », avait-il ajouté.
Mais pour Iris Mittenaere, ces confidences publiques constituent une violation inacceptable de son intimité. Elle rappelle qu’elle n’est pas la seule concernée : « Comme trop d’autres femmes, je constate à quel point la calomnie, le harcèlement et la manipulation sont devenus des outils de pression en ligne. »
Un combat pour la protection de la vie privée
Dans son message, l’ancienne Miss France affirme défendre plus qu’un simple démenti : il s’agit pour elle de protéger ses droits fondamentaux et de mettre un terme à ce type de pratiques.
« Je reste profondément attachée à mes valeurs : le respect, la vérité, la justice », a-t-elle insisté. Et de conclure : « Je suis debout, entourée, et pleinement engagée dans mes projets. Votre soutien est une force précieuse. »
Face à la montée des confessions médiatisées et des récits personnels étalés en public , le geste d’Iris Mittenaere marque un tournant : celui de dire non à la mise en scène de la vie privée sous prétexte de vérité.