Le 13 juin 2025, Émilien, le candidat recordman des 12 Coups de Midi, a connu un moment rare : il a trébuché sur trois questions inattendues. Un événement marquant pour ce champion quasi imbattable.
Un faux pas inattendu dans une série presque parfaite
Depuis son arrivée sur le plateau animé par Jean-Luc Reichmann, Émilien s’est imposé comme l’un des candidats les plus brillants de l’histoire du jeu. Mais le 13 juin dernier, sa culture encyclopédique a rencontré un mur. Trois questions, apparemment simples, ont suffi à le déstabiliser.
Ce n’était pas la fin de son règne, mais un instant d’émotion rare pour un homme habitué à tout savoir.
Question 1 : Une erreur de producteur
Premier piège tendu par Jean-Luc Reichmann : « Par qui étaient produites les émissions Tout le monde en parle et On n’est pas couché ? »
Émilien répond avec assurance : Thierry Ardisson. Erreur. La bonne réponse est Catherine Barma, figure majeure de la production télévisée.
Une bévue qui rappelle que même les spécialistes du PAF peuvent se tromper sur les coulisses de la télévision.
Question 2 : Le vendredi 13… porte bien son nom
Deuxième question, à la croisée entre superstition et logique mathématique : « En 4000 ans, sur quel jour de la semaine le 13 tombe-t-il le plus souvent ? »
Émilien tente le mercredi. Raté. C’est vendredi qui arrive en tête, selon les calculs des calendriers grégoriens successifs. Une réponse contre-intuitive qui aura eu raison de sa confiance.
Question 3 : E.T., entre Einstein et un chat
Dernière embûche, cette fois dans le domaine pop culture : « De qui Carlo Rambaldi s’est-il inspiré pour créer E.T. ? »
Réponse du candidat : Chaplin et un chien. Réponse correcte : Einstein et un chat.
Cette référence artistique peu évidente aura été le troisième faux-pas du jour, confirmant que même les génies ont leurs zones d’ombre.
Après la tempête, la continuité
Trois erreurs, mais pas de chute. Malgré ces couacs inhabituels, Émilien reste en course, toujours élégant, toujours compétitif. Son parcours exceptionnel — des dizaines de victoires et des milliers de bonnes réponses — continue de marquer l’histoire de l’émission.
Mais ce passage à vide restera dans les mémoires : un moment où l’humain a pris le dessus sur le champion.