Le départ d’Anne-Sophie Lapix du journal télévisé de France 2 a fait l’effet d’une bombe médiatique. Pourtant, derrière cette éviction officielle se cache une réalité inattendue. Selon des sources proches, la journaliste aurait accueilli cette décision non pas comme un drame, mais comme une libération. Décryptage d’un départ qui ne ressemble à aucun autre.
Un départ officiellement justifié par les audiences
Depuis septembre 2017, Anne-Sophie Lapix était à la tête du JT de 20h sur France 2. Une prestation marquée par son élégance, sa rigueur et une certaine distance journalistique. Mais les chiffres d’audience ont fini par peser dans la balance. Selon des informations rapportées par Le Parisien , la direction de France Télévisions aurait pris acte d’un déclin régulier.
Ce n’est pas seulement une question de popularité, mais aussi de positionnement. Toute la classe politique semblait s’éloigner de la présentatrice, critiquant ouvertement son ton jugé trop ironique, ses expressions faciales moqueuses et son style perçu comme distant.
Une éviction vécue comme un soulagement
Contrairement aux apparences, ce changement pourrait bien être une bonne nouvelle pour la journaliste. Selon les révélations du magazine Ici Paris , Anne-Sophie Lapix aurait vécu cette annonce comme “une forme de soulagement”.
Elle n’aurait pas été prise au dépourvu. Depuis plusieurs années, elle sentait le poids du JT s’alourdir, sans nécessairement en prendre pleinement conscience. Elle aurait même commencé à relativiser, recentrer ses priorités et redéfinir ses ambitions professionnelles.
France Télévisions garde confiance en elle
Même si elle quitte le devant du JT, Anne-Sophie Lapix reste une figure centrale du groupe France Télévisions. La chaîne a confirmé qu’elle serait de retour à la rentrée, avec de nouveaux projets en préparation. On mise toujours sur elle pour incarner le service public, mais sous une forme différente, plus alignée avec ses envies profondes.
