Le jeu culte Intervilles revient ce jeudi 3 juillet sur France 2 après plusieurs années d’absence. Porté par Nagui, Bruno Guillon et une équipe dynamique, le programme s’offre même une mascotte inédite baptisée Topa la vachette… grâce à une confusion amusante causée par un stagiaire de collège. Une anecdote qui restera gravée dans les mémoires.
Un revival attendu depuis cinq ans
C’est officiel : Intervilles est de retour ! Après des reports liés notamment à la crise sanitaire, la célèbre compétition entre villes françaises refait surface cet été, en prime time sur France 2.
Prévu en quatre numéros pour juillet, le programme pourrait être reconduit dès l’été prochain si les audiences suivent. Nagui et Bruno Guillon animent cette relance avec enthousiasme, entourés de Yoann Riou, Magali Ripoll, Camille Cerf et Valérie Bègue. Un casting pétillant, une formule revisitée, mais toujours cette bonne vieille saveur de défi populaire.
L’histoire improbable de “Topa la vachette”
La mascotte de l’émission, dessinée par ZEP, devait initialement porter un autre nom. Mais c’est un jeune stagiaire de troisième qui a bouleversé toute la logique originale. En révisant les archives de l’émission, il a cru comprendre que les vachettes présentes sur les podiums s’appelaient « Topa », en raison du fameux cri : « Top à la vachette ! »
Cette confusion innocente a finalement inspiré Nagui, qui a adopté le nom Topa la vachette pour incarner l’esprit ludique et nostalgique du nouveau Intervilles . Une erreur qui devient une belle trouvaille marketing !
Une immersion totale dans l’univers d’Intervilles
Pour se préparer à son rôle, le stagiaire a bénéficié d’une formation immersive : visionnage des anciennes saisons, découverte des défis emblématiques (plans inclinés, piscines, gadins), et écoute des célèbres phrases de présentation. C’est justement là que tout a basculé.
« On lui a fait écouter tous les fondamentaux de l’émission (…) et il a noté qu’il y avait du savon noir, des plans inclinés, des piscines, des gadins, des gamelles… et qu’il y avait une vachette et qu’elle s’appelait Topa parce que Top à la vachette », raconte Nagui. Cette petite erreur est devenue une décision clé de la relance du programme.
Quand le hasard frappe fort
Si personne ne s’attendait à ce qu’un stagiaire influence directement l’identité visuelle d’une émission nationale, voilà bien la preuve que l’imprévu peut créer des moments inoubliables. Pour ce jeune élève, ce passage dans les coulisses de France Télévisions restera certainement un souvenir marquant de sa scolarité.
Et pour Nagui, c’est aussi un clin d’œil affectueux au passé de l’émission, mêlant tradition et modernité à travers une mascotte qui incarne désormais l’esprit festif et bon enfant d’Intervilles .
