Alors que l’arrivée de Cyril Hanouna sur Fun Radio à la rentrée prochaine suscite de nombreuses interrogations, Bruno Guillon n’a pas hésité à remettre les pendules à l’heure. Dans un entretien exclusif au Figaro, l’animateur de la matinale de Fun Radio assume pleinement ses critiques passées et affirme ne **rien redouter de son futur rival**.
« Oui, je confirme mes propos » : Guillon assume ses attaques
Récemment dévoilé par Clément Garin, un enregistrement audio mettait en lumière des propos cinglants de Bruno Guillon à l’encontre de Cyril Hanouna. Interrogé par TV Mag, ce dernier a confirmé sans ambivalence : « Les propos volés ? Oui, je confirme les avoir tenus. J’assume ce que je dis, même si ces enregistrements ont été commercialisés. »
Pour lui, cette diffusion relève d’un véritable abus : « C’est du vol d’informations. On n’a pas le droit de faire ça. La justice s’en est d’ailleurs saisie. » Une position claire et assumée, qui montre que l’humoriste ne compte pas se taire.
L’arrivée de Hanouna sur Fun Radio : « Je m’en fiche »
Interrogé sur la future cohabitation avec Cyril Hanouna sur la même station radio, Bruno Guillon répond avec détachement : « Je ne conjugue pas mon avenir avec celui de Cyril Hanouna. Je sais qu’il parle beaucoup de moi, moi très peu de lui. »
Et d’ajouter avec ironie : « J’ai l’impression que ça doit beaucoup plus l’obnubiler que moi. » Pour lui, cette arrivée programmée ne changera rien à sa trajectoire. Il rappelle fièrement : « Je présente l’émission matinale la plus écoutée depuis des années. La direction de Fun Radio le sait parfaitement. »
Une rivalité médiatique bien ancrée
Cette tension entre les deux animateurs n’est pas nouvelle. Depuis plusieurs mois, les piques fusent, souvent en off ou dans les médias. Karine Le Marchand avait elle aussi exprimé ses réticences face à l’idée de voir Hanouna intégrer M6.
Mais si pour certains cela pourrait créer des frictions, pour Bruno Guillon, il n’y a tout simplement pas de comparaison possible. Et quand on lui demande s’il craint Cyril Hanouna, il répond avec aplomb : « Pour être rassuré vis-à-vis de lui, il faudrait qu’il me fasse peur… Ce qui n’est absolument pas le cas. »
