La fille cachée de Poutine en alternance à Paris ? Une révélation incroyable bouleverse la scène artistique

Une information troublante fait débat. Selon Le Figaro, Elizaveta Krivonogikh, considérée comme l’une des filles illégitimes du président russe Vladimir Poutine, travaillerait discrètement depuis octobre 2024 dans une galerie d’art engagée à Paris. Une présence inattendue, dans un lieu symboliquement opposé à la guerre en Ukraine.

Une jeune femme discrète au cœur d’un tourbillon médiatique

Aujourd’hui âgée de 24 ans , Elizaveta Krivonogikh, également connue sous le pseudonyme de Luiza Rozova , aurait été aperçue lors d’un vernissage organisé par la Galerie L , située dans le 20ᵉ arrondissement de Paris .

Ce lieu culturel, géré par Alexandre Vichnevski, est spécialisé dans les œuvres d’artistes russes et ukrainiens opposés à la guerre . Et c’est précisément là que la jeune femme effectuerait un contrat d’alternance de deux ans , sans attirer l’attention… jusqu’à ce que la presse s’en empare.

Un profil mystérieux mais confirmé

Selon des sources concordantes — dont celles de Radio France et du média indépendant Meduza —, Elizaveta aurait entamé cette activité quelques mois après la fin de ses études dans une école de management culturel à Paris .

Son employeur, Alexandre Vichnevski, affirme avoir découvert l’identité supposée de son employée via la presse : “Nous ne savions rien. Elle travaille ici comme n’importe quelle autre alternante. Elle prend le métro, elle est discrète. Quand nous lui avons posé la question, elle a nié être la fille de Vladimir Poutine.”

Il précise toutefois qu’elle s’exprime couramment en russe, langue qu’il partage avec elle : “Nous parlons souvent en russe, cela nous rapproche. Mais pour le reste, elle reste très réservée sur sa vie privée.”

Des origines familiales entourées de mystère

Née en 2001, Elizaveta serait la fille de Svetlana Krivonogikh , ancienne femme de ménage devenue prospère. Selon plusieurs enquêtes internationales, elle aurait entretenu une relation secrète avec Vladimir Poutine.

Ni le Kremlin ni les intéressés n’ont jamais confirmé officiellement ce lien familial. Toutefois, des documents financiers, des photos et des témoignages renforcent les soupçons autour de cette filiation non reconnue.

Après une jeunesse relativement discrète en Russie, Elizaveta a changé de nom et s’est effacée des réseaux sociaux après le début de la guerre en Ukraine en février 2022.

Travail artistique ou fuite stratégique ?

Son retour public en France, dans un lieu artistique militant, suscite de nombreuses interrogations. La Galerie L, où elle est en alternance, défend régulièrement des positions critiques vis-à-vis du pouvoir russe . Ce choix professionnel semble donc étonnant pour une jeune femme liée à la famille Poutine.

Je ne voudrais pas que l’on vienne me casser mes vitrines”, a confié son employeur, conscient de la montée soudaine de tension autour de cette information. Il rappelle que “la jeune femme n’est accompagnée d’aucun garde du corps” et vit “comme n’importe quelle étudiante”.

Rumeurs, pression et isolement : une réalité complexe

Depuis la diffusion de ces informations, Elizaveta ferait face à une vague de messages haineux sur les réseaux sociaux. Son employeur admet qu’il va falloir “apprendre à gérer la situation”, tant la révélation a pris une ampleur inattendue.

Dans un contexte géopolitique tendu, ce simple contrat d’alternance soulève bien plus que des questions artistiques. Pour certains, il s’agit d’un signe d’émancipation. Pour d’autres, d’une provocation silencieuse.

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